noir
d'encre
Je n’avais rien à voir avec le tatouage.
Ma peau à moi était
muette.
Aller à la rencontre. Rentrer dans l’intime.
Ne pas s’arrêter à la surface de la peau.
Ce fut un voyage. LE voyage. Au bout du monde, au bout de soi.
J’ai rencontré des hommes, des femmes, qui ont accepté de poser, d’exposer leur peau tatouée,
parfois montrée, parfois cachée, mais qui parle pour eux. Ces dessins qui signifient, qui font
signe, qui identifient, qui sont mémoire et identité.
Tout est là.
(lire la suite)